Pascale a quitté son travail
le Mercredi 3 Novembre 1999 vers 19 h.15, à Moustey, comme
à son habitude. Vétue d'un pull saumon et d'une veste
imperméable, elle serait revenue chez elle, pour faire une
brêve halte et repartir aussitôt. Sa voiture, une Renault
25 grise, a été retrouvée sur le bas côté de la RD 43,
entre Pissos et Sore à 3 km de son domicile. D'aprés des
témoins la voiture était déjà à cet endroit à 20 heures ce
soir là. Son Pull, sa veste, son sac à mains avec ses
papiers et effets personnels ont étés retrouvés à son
domicile.
RIEN DE COHERENT AVEC SES HABITUDES:
Où est donc allée Pascale ce soir là, sans aucun effets
personnels, sans manteau ?
et OU EST-ELLE AUJOURD'HUI ?
Aidez nous à la retrouver, ne l'oublions pas. Regardez
autour de vous, OUVREZ l'OEIL.
Dernier Article de MARIE
CLAIRE
Mars 2008.
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SUD-OUEST
/
FEMME
ACTUELLE
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SUD OUEST DU JEUDI 11
NOVEMBRE 1999
DISPARITION DE
PISSOS
Information
ouverte pour enlèvement
Une information contre X pour enlèvement a été ouverte hier
après la disparition de Pascale Biegun la semaine dernière.
Les recherches n'ont toujours rien donné.
La gendarmerie a employé les
grands moyens hier , afin de poursuivre les
recherches pour retrouver pascale Biegun, 35 ans,
disparue sans explication de son domicile de pissos,
dans les landes, mercredi 3 novembre ;
PAS DE TRACE DE LUTTE Celle-ci a disparue le mercredi
soir entre 19h15 et 21 heures ( voir nos précédentes
éditions ) cet horaire est confirme par deux
témoignages aux alentours de 19h15, pascale Biegun
quitte son lieu de travail à Moustey elle est vêtue
d'un pull-over couleur saumon et d'une veste bleu,
blanc, rouge on a retrouve ces vêtements a son
domicile qu'elle quitte subitement en laissant son
sac a main, contenant notamment sa carte bancaire et
son chéquier.
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VIGOUREUSE ET SPORTIVE A leur domicile, aucun désordre
suspect n'a été remarqué. La jeune femme n'aurait
emporté ni vêtements particuliers ni affaires de
toilette. Elle ne souffrait d'aucune maladie grave
susceptible de la plonger dans le désespoir et
n'était pas dépressive. Vigoureuse et sportive, elle
avait l'habitude de marcher en foret et de pratiquer
la moto avec son compagnon.
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SUD OUEST DU DIMANCHE 7
NOVEMBRE:
DISPARITION > Un avis de recherche a été lancé par la gendarmerie de Pissos, dans les Landes, à la suite de la disparition d'une femme de 35 ans. Celle-ci, Pascale Biegun, une aide soignante demeurant à Pissos, a été aperçue pour derniére fois, mercredi demier, en début de soirée. Ce jour-là, à l'issue d'une journée de travail au CAT de Moustey, où elle est salariée, elle a regagné son domicile en voiture. La suite de son emploi du temps n'est plus que déductions, car, depuis, son compagnon, Rafael, comme ses amis n'ont plus aucune nouvelle d'elle. Il semble qu'aprés une bréve halte, vers 19h30, Pascale ait repris son véhicule et roulé en direction de Sore. C'est sur cette route que son véhicule a été retrouvé, portes fermées, bizarrement garé sur le bas-coté. Ses proches, qui la décrivent comme une personne stable, sans difficultés psychologiques, excluent une disparition volontaire et balayent l'hypothèse d'un suicide.
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SUD OUEST DU LUNDI 8 NOVEMBRE 1999
Troublante disparition
Pascale
Biegun, une aide-soignante de 35 ans, a été aperçue pour la
dernière fois
mercredi soir. Curieusement, son vehicule a été abandonné
le long d'une route déserte traversant le Parc régional des
Landes.
Où est donc passée Pascale Biegun? Ses proches. l'ignorent
et redoutent le pire. Selon eux, oette jolie fenune blonde
aux yeux bleus de 35 ans,demeurant à Pissos dans les
Landes, n'avait pas l'esprit brouillé par des difficultés
psychologiques et aucun nuage ne planait sur sa vie
sentimentale. Elle n'était pas non plus attendue sous
d'autres latitudes. Alors ces hypothèses abandonnées, ils
en sont arrivés à une quasi certitude: elle n'a pu
abandonner si longtemps, et de son plein gré, cette grande
maison de maitre cerclé d'un parc de 3 hectares qu'elle
partage avec Rafaël; son concubin. Il ne s'agirait donc
disparition volontaire; d'une fuite ou d'un suicide. Mais
alors que s'est-il passé?
Mercredi en début de soirée, au volant de sa Renault 25
grise, elle a quitté le centre d'aide par le travail de
Moustey, puis elle a rejoint son domicile. Là, elle a posé
ses affaires et, pour une raison inexpliquée, elle est trés
rapidement repartie en direction de Sore, sans même se
saisir de son sac et de ses papiers. Il devait être 19h30.
Le lendemain Pascale ne s'est pas présentée à son travail,
elle n'a pas donné de nouvelles à son compagnon,
représentant de commerce, en déplacement le jour de la
disparition.
La Renault 25 a été retrouvée sur la départementale 43,
cette route rectiligne et monotone qui traverse des
centaines d'hectares de fôret de pins.
L'automobile semblait bizarrement garée sur le bas côté à
environ 4 kilométres du bourg de Pissos, en direction de
Sore. Curieusement les portes étaient fermées à clé et une
vitesse était enclenchée. Un détail qui a troublé Rafaël,
puisque Sa concubine avait pour habitude, en stoppant son
automobile, de passer le point mort.
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SUD OUEST DU JEUDI 18 NOVEMBRE 1999
DISPARITION DE
PISSOS
Recherches
dans la Leyre
Depuis mardi, des plongeurs venus d'Arcachon et Saint-
Jean-de-Luz fouillent le fond de la rivière la Leyre qui se
trouve à proximité de l'endroit où Pascale Biegun, 35 ans,
a mystérieusement disparu le 3 novembre dernier à Pissos,
dans les Landes. Jusque-là, ces recherches n'ont apporté
aucun élément nouveau dans l'enquête destinée à retrouver
la jeune femme. Les plongeurs devaient cependant reprendre
leur exploration de la rivière aujourd'hui.
Un site Internet a été ouvert par la famille de la disparue
dans le but de recueillir d'éventuelles informations :
www.chez.com/retrouvons pascale/
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SUD OUEST DU SAMEDI 27 NOVEMBRE 1999
DISPARITION DE
PISSOS
Aucune
nouvelle de Pascale
L'enquête de la gendarmerie se poursuit, toutes les pistes
sont exploitées, mais à ce jour on est toujours sans
nouvelles de Pascale Biegun, cette aide-soignante de 35 ans
domiciliée à Pissos, mystérieusement disparue depuis le
mercredi 3 novembre. Rappelons que ce jour-là, la jeune
femme a quitté le centre d'aide par le travail de Moustey
aux alentours de 19 heures et a certainement regagné son
domicile situé à cinq kilomètres.
Là, elle aurait changé de vêtements et, peu de temps après,
pour une raison indéterminée, sans même prendre son sac à
main, elle serait remontée dans son automobile, une Renault
25, et se serait dirigée en direction de Sore. C'est là, en
tout cas, que son véhicule a été retrouvé, portes fermées,
le lendemain. Depuis, Pascale Biegun ne s'est plus
manifestée. Une information pour "enlèvement" a été ouverte
et l'instruction a été confiée au juge Augey.
D'AUTRES DISPARITIONS TROUBLANTES
Sans qu'aucun lien ne puisse être véritablement réalisé
avec cette affaire, il est cependant à noter que deux
autres femmes ont disparu dans des circonstances un peu
similaires durant la même période. Ainsi, le 1er novembre,
Sylvie Debrieu, une Pessacaise (Gironde) de 45 ans, mariée
et mère de famille, s'est volatilisée dans la nature.
Bizarrement, elle n'a pas emporté son sac à main et sa
voiture était retrouvée, portes fermées, sur le parking de
la gare Saint-Jean, à Bordeaux.
Le 7 novembre, c'est une jeune femme blonde de 30 ans,
Katherine Lee, qui a disparu non loin de Dijon, à proximité
d'une zone boisée. La jeune femme, une enseignante
américaine de l'Ecole supérieure de commerce, y avait
l'habitude de faire du jogging. Là encore, sa voiture était
retrouvée fermée à clé. Simples coïncidences? Peut-être,
mais encore une fois, les enquêteurs ne négligent aucune
hypothèse. Ils ont d'ailleurs échangé les informations en
leur possession afin de relever, le cas échéant, des
similitudes, dans l'historiographie de ces trois femmes.
Une ligne directe a été ouverte par les enquêteurs afin de
relever les différents témoignages susceptibles de faire
avancer l'enquête. Il s'agit du 05.55.08.97.61. Rappelons,
par ailleurs, que la famille de la disparue a ouvert un
site sur Internet.
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2000
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SUD OUEST DU JEUDI 15 FEVRIER 2000
DISPARITION DE
PISSOS
Plus de 1000 personnes disparaissent en France. Sans
laisser de traces ou très peu. Lorsqu'il s'agit de mineurs,
les recherches sont de plus en plus souvent lancées très
vite. Les adultes ayant le droit d'agir à leur guise,
justices, gendarmes et policiers sont souvent plus prudents
dans leurs investigations. Dans les deux cas sur lesquels
nous revenons ci dessous, pourtant, les circonstances de
disparitions ainsi que les éléments recueillis auprès des
proches, ont incités les enquêteurs à déployer d'importants
moyens humains et techniques pour tenter d'élucider le
mystère. Sans résultats à ce jour , Pascale Biegun et
Sylvie Debrieu restent introuvables.
- Article de Jean François
MOULIAN -
Il y a plus de quatre mois que
Pascale Biegun a disparu de Pissos, petit village des
Landes. Cette aide soignante de 35 ans au Centre
d'Aide au Travail de Moustey s'était comme
volatilisée le mercredi 3 novembre vers 19h15.
Depuis, on est toujours sans nouvelles de cette jeune
femme dont la vie n'a révélé aucun secret et paraît
sans aspérité.
GARDE A VUE Les seules empreintes digitales et
traces d'ADN relevées dans le véhicule sont celles de
la disparue. Les perquisitions et fouille de terrain
n'ont rien appris. L'audition de nombreux
automobilistes et témoins non plus. Aucun mouvement
de fonds n'a été observé sur les comptes de l'aide
soignante. Rien, non plus, dans sa vie sentimentale
n'a offert la moindre amorce de piste aux enquêteurs
qui se sont appliqués à "fermer les portes". La
difficulté est qu'ils les ont presque toutes fermées
et qu'ils sont revenus au point de départ.
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QUESTIONS A PESSAC Homicide? Enlèvement? Départ
volontaire? Toutes les possibilités ont été avancées
depuis la disparition de Sylvie Debrieu, l'épouse
d'un artisan de Pessac, dans la banlieue bordelaise.
Trois mois et demi après, rien ne permet encore
d'infirmer ou confirmer telle ou telle hypothèse.
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SUD OUEST DU VENDREDI 06 OCTOBRE 2000
PERSONNES
DISPARUES
Questions
sans réponse
Toutes les enquêtes menées sur des personnes disparues dans
la région ces dernières années n’aboutissent pas :
Pourtant, bien des pistes ont été explorées, et les même
questions restent posées.
Les faits. Quelques 1500 personnes disparaissent chaque année en France. Entre la volonté de rompre avec le quotidien et l’accident, il reste place pour l’enlèvement ou le meurtre. Les dernières disparitions, dans notre région, restent pour la plupart sans explications aucune ni traces. Parmi celles-ci les étranges disparitions des vallées d’Aspe et d’Ossau en 1997, celles de deux femmes à Pessac et à Pissos dans les Landes, les 1er et 3 novembre 1999. Enfin le drame le plus emblématique, la disparition de la petite Marion à Agen, en novembre 1996. Le temps passe, mais les enquêteurs n’abdiquent pas. |
« Des enquêtes judiciaires de cette nature, on ne les
oublie pas » Jean Espitalier, directeur du service national
de la police judiciaire (SRPJ) de Bordeaux, le rappelle.
Les mois, voire les années s’écoulent, des pistes
s’éteignent, mais jamais les enquêteurs
n’abandonnent. Qu’il s’agisse des
sections recherches des Gendarmeries ou des enquêteurs de
la police judiciaire.
« Des tas de vérifications sont faites, des recherches
engagées. Puis on revoit des gens car certains témoins
n’ont peut être pas parle. Et, avec le temps, leur
position peut changer. On étudie aussi les autres
disparitions en France. On essaie toujours d’aller
au-delà en se disant que quelque chose nous a échappe. »
La PJ de Bordeaux enquête depuis le 1er novembre 1999 sur
la disparition d’une femme de 45 ans demeurant á
Pessac, dans la banlieue de Bordeaux. Sylvie Debrieu a
disparu après avoir quitte en voiture le domicile familial.
Aucune trace entre les heures qui ont suivi son départ et
le moment o on a retrouve le véhicule, une Peugeot 406,
prés de la Gare de Bordeaux.
Troublantes similitudes.
Cette quadragénaire habituée au confort n’a rien
emporte de personnel, pas même son sac a main. Chargée de
gestion dans l’entreprise de son mari, elle
n’apparaissait pas comme quelqu’un capable de
changer de vie. Aucun élément non plus, sur une vie privée
cachée. Quand a l’éventuelle volonté de suicide le
corps n’a jamais été retrouve. La disparue n’a
pas laisse la moindre lettre.
Les policiers n’établissent pas de corrélation avec
la disparue des Landes, Pascale Biegun, une aide soignante
de 35 ans, dont on a retrouve la voiture abandonnée, le 3
novembre dans la commune de Pissos, soit deux jours plus
tard. Deux femmes blondes décrites comme très jolies, dont
les voitures été fermées à clé et les sacs a main
abandonnes. Les policiers bordelais ont mis leurs
recherches en commun avec le groupement de gendarmerie des
Landes et la section des recherches de Pau, lesquels se
retrouvent confrontes aux même difficultés pour établir la
moindre piste pour la disparue de Pissos. Pascale Biegun,
employée au Centre d’aide au Travail de Moustey a
disparu le 3 novembre 1999. sa voiture a été retrouvée sur
une route départementale a 2 km de son domicile. Empreintes
digitales, traces d’ADN, rien n’a été laisse au
hasard la non plus. « Dans cette affaire tout est lisse »
disent les Enquêteurs :
Les disparus des Vallées.
Dans les Pyrennees Atlantiques, on n’a pas oublie les
interrogations liées aux disparitions survenues en juin
1997 dans la vallee d’Aspe et en juillet dans celle
d’Ossau. Le corps de Didier Seguin, 29 ans, un
Bordelais parti en randonnées depuis Lescun, n’a
jamais été retrouve. Un mois plus tard dans la vallée
voisine, un couple originaire de l’Ain, Caroline
Jourquin, 37 ans et Laurent Prat, 40 ans, en balade dans le
secteur de Bious-Artigues, n’est pas revenue. La
thèse de l’accident ?
Trois ans après aucun corps n’a été retrouve.
L’idée d’un tueur en série a couru.
Le cas le plus emblématique reste celui de la petite Marion
Wagon, disparue le 14 novembre 1996 a Agen, entre
l’école et le domicile de ses parents. Elle était
âgée de 10 ans. Malgré les moyens considérables mis en
place, aucune trace de l’enfant. Son portrait reste
placarde dans tous les commissariats et les gendarmeries de
France, ainsi que dans de nombreux lieux publics, en vain.
Rencontre avec un meurtrier.
Se posent alors les questions relatives à la criminalité
réelle. Prostitution organisée ou tueurs en série.
« Sans cadavre la compréhension des faits et du mobile est
extrêmement difficile. Tant que nous n’avons aucune
trace aucune piste n’est écartée » ajoute le
commissaire Espitalier.
« Le serial Killer a « son » mobile. On connaît des cas
récents en Belgique, aux USA, et chez nous, avec Sid Ahmed
Rezzala. C’est la PJ qui a permis son arrestation au
Portugal. Ils agissent selon des pulsions pathologiques.
Nous pouvons alors définir la silhouette du tueur avec
l’aide d’un psychologue clinicien.
Lorsqu’on arrive à comprendre les raisons du tueur en
série, l’enquête avance vite »
Quant aux éventuels réseaux réalisant des enlèvements pour
organiser des prostitutions a l’étranger,
l’Office central de répression de la traite des êtres
humains (OCRTH) ne dispose pas actuellement
d’informations sur une éventuelle organisation de
traite de blanches.
« Il ne faut pas oublie non plus qu’il existe de
véritables voyageurs de commerce du crime, quelques fois
aperçus sur les lieux avec un comportement tellement normal
que les témoins n’ont pas compris ce qu’ils ont
vu. D’où la nécessite d’attirer à nouveau leur
attention. Il y en aura de plus en plus, avec les moyens de
communication accrus et de moins en moins de contrôles aux
frontières ! D’où l’obligation
d’effectuer des recoupements locaux, nationaux, voire
internationaux. Le SRPJ de Montpellier travaille
actuellement sur de tels cas. Quelquefois, aussi, une
personne peur tomber par hasard sur un criminel »
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2002
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FEMME ACTUELLE DU 20 MAI
2002
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Disparus sans
laisser de traces…
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« C'est sur cette route
départementale qu'on a retrouvé la voiture de Pascale
abandonnée sur le bas-côté et fermée à clé. Un quart
d'heure auparavant, à 19h30, la jeune femme venait de
quitter son travail. Ce 3 novembre 1999, elle n'a pas
regagné la maison de Pissos, à 2km de là, où elle
vivait avec son compagnon. C'est lui qui a posé ce
panneau pour qu'on ne l'oublie pas. »
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